Le gras, c'est la vie !

Le gras, c’est la vie !
Mais pour ça, il faut manger du « bon » gras.

Prenons l’exemple des frites du Mc Donald's
Mc Do cuit ses pommes de terre dans 2 bains d’huile.
Ils utilisent de l’huile de canola (colza) et de l’huile de soja hydrogénées, autrement dit, elles ont été transformées, par processus chimique, afin de les solidifier, de les rendre plus stables à la chaleur et d’empêcher leur oxydation.
Pour atteindre ce résultat, elles doivent subir un traitement à haute température (ces huiles sont désignées comme désodorisées, raffinées) ce qui engendre la perte des acides gras polyinsaturés qu’elles contiennent naturellement (omégas 3 et 6) et peut les transformer en gras trans, nocifs pour la santé. Ces acides gras trans sont suspectés d’augmenter le mauvais cholestérol au détriment du bon cholestérol et d’obstruer les vaisseaux sanguins, contrairement à ceux d’origine naturelle qui sont naturellement présents dans les laitages et dans la viande de ruminants.

Notre consommation en graisses poly-insaturées (omégas 3 et 6 issus essentiellement d’huiles végétales) est récente dans l’histoire de l’homme et, consommées en excès, fragilisent notre organisme et créent un terrain favorable aux maladies chroniques et dégénératives, au stress oxydatif, à l’inflammation et à l’obésité.
Les chercheurs appellent à réviser les recommandations diététiques officielles et à ne plus limiter la consommation de graisses saturées qui semblent avoir un effet protecteur contre les AVC et dont l’acide stéarique qu’elles contiennent réparent nos mitochondries (partie de cellule productrice de l’énergie humaine).

En outre, les frites du géant américain contiennent du dextrose (sirop de glucose), du pyrophosphate acide de sodium (E450 – à haute dose favoriserait les maladies rénales, cancers, maladies cardiovasculaires) pour protéger la couleur, de l’acide citrique de synthèse pour la conservation, du sel additionné de silicoaluminate (E554 – susceptible de contenir de l’aluminium (neurotoxique), du dextrose ( ?!) et de l’iodure de potassium) et du diméthylpolysiloxane (E900 – interaction avec le système hormonal et immunitaire) en tant qu’agent anti-moussant de l’huile de cuisson.